Non, L’École Victoire Emmanuel n’a pas fait néant au baccalauréat général !

Une rumeur virale affirme depuis ce matin que l’École Victoire Emmanuel (ex-Joséphine Inianga) a enregistré un taux de réussite nul au baccalauréat général. L’établissement dément fermement cette fake news, précisant qu’il n’y a eu que sept échecs parmi les candidats, et rappelle son taux de réussite de 100 % au CEPE. La direction y voit une tentative malveillante de nuire à sa réputation.

2 Min de Lecture

Une information trompeuse circule sur les réseaux sociaux, affirmant que l’École Victoire Emmanuel (anciennement connue sous le nom de Joséphine Inianga) aurait obtenu un score de zéro réussite au baccalauréat général cette année.

Origine de la fausse information

Plusieurs publications, relayées notamment par des pages Facebook comme Brazzanews, diffusent cette rumeur accompagnée de commentaires moqueurs :

✅ Ce que dit la direction de l’établissement

La direction de l’École Victoire Emmanuel a fermement démenti cette allégation dans un communiqué officiel. L’administration rappelle :

« L’école Victoire Emmanuel affiche un taux de réussite de 100 % au CEPE. Et seulement sept élèves n’ont pas obtenu leur baccalauréat. »

Elle dénonce une désinformation volontaire, qu’elle attribue à certains parents d’élèves mécontents des résultats de leurs enfants, ou à une manœuvre de concurrence déloyale de la part d’autres établissements scolaires de la ville.

🎓 Une école qui maintient ses engagements

Malgré cette tentative de discrédit, la direction de l’école réaffirme son engagement à fournir une éducation de qualité et à garantir l’intégrité pédagogique de son établissement. L’École Victoire Emmanuel appelle les internautes à faire preuve de vigilance et à ne pas relayer des informations non vérifiées qui portent atteinte à la réputation d’institutions éducatives.


🔎 Conclusion

Les affirmations selon lesquelles l’École Victoire Emmanuel aurait obtenu 0 % de réussite au bac sont fausses. Il s’agit d’une fake news, probablement motivée par des rivalités locales ou des frustrations personnelles. Pour éviter la propagation de telles rumeurs, il est essentiel de vérifier les sources avant de partager une information.

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